Date de naissance: 02/09/2000
Appartenance: Lycéenne
Particularité: Tatouée de la tête aux pieds
Personnalité: Ludy ? Cette fille est une boule de feu. Faut pas chercher, dans son genre, y'a qu'elle, et elle est bien fière d'être la seule. Quand elle rit, elle rit à gorge déployée, quand elle pleure, elle pleure des rivières entières, bref, Ludy, elle fait pas dans la demi-mesure. Elle n'a pas peur de montrer ses sentiments ; bah oui, quand t'a envie de gueuler et que tu restes blasé, à quoi ça sert de t'avoir donné la parole ? Seriously ! Quand Ludy n'aime pas quelqu'un, elle le fait savoir. Et quand cette personne lui cherche noises, dans le meilleur des cas elle le clashe de son ton le plus méprisant (tout en soulignant qu'elle n'est absolument pas crédible), dans le pire elle fait parler ses poings. Oui, on pourrait dire qu'elle est légèrement impulsive... mais ce serait mentir. Ludy tape tout ce qui bouge. Quand elle rit pas, elle tape. Alors quand elle commence à froncer les sourcils... Courrez. Si Ludy n'était pas Ludy, elle se dirait : Wtf, who's this chick ? et se qualifierait de ''grosse pouf sooooo superficielle''. Ah, et puis, inutile de préciser qu'elle balance des phrases avec son pire accent américain H24. Oups, si on y regarde bien, Ludy est un gros stéréotype... mais c'est Ludy quand même, alors on lui pardonne. Et...vous devez vous demander pourquoi elle se fait appeler Hayley ? Parce que Ludivine, c'est nul, c'est trop français, et puis Hayley ça roxxe vachement plus ! Y'a que les gentils qu'ont le droit de l'appeler Ludy. Les autres se font taper.

Physique: Ludy est petite, extrêmement petite. Alors elle porte des talons de 20cm et elle le vit plutôt bien. Pour ses 58kg, on peut dire que la blondinette a quelques formes qu'elle aime plus que tout au monde. Faut dire qu'elle se goinfre de sucreries à toute heure du jour (ou de la nuit). Les tattoos, elle a commencé quand elle avait seize ans, depuis, elle ne peut plus s'en passer. Un dragon traverse ses deux avant-bras, des ailes de démon poussent dans son dos et sur ces jambes, il y a plusieurs signes bizarres dont personne ne comprend vraiment la signification. C'est son petit côté mysterious. Sa belle couleur platine, elle le doit à une coloration express : étant passée par le roux, l'acajou, le brun, le châtain et par quelques couleurs loufoques (blond flashy aux mèches roses bonbons ou même bleu électrique), à la base elle était brune. Elle se maquille relativement peu : un trait d'eyeliner, du mascara, un coup de gloss rouge et c'est terminé - elle n'y passe jamais plus de 30min. Concernant son style vestimentaire... c'est court, très court : généralement elle revêt un chemisier et un short very short sur un collant résille avec des talons aiguilles, mais l'hiver elle adopte un style plus sobre. Elle aime parfois s'habiller en pinup, ça lui arrive régulièrement, elle adore ça.

Position sur le conflit: Oh, Ludy, elle s'en fiche. Le glee club, elle s'y est inscrite parce que tout ses amis lui en vantait le mérite, mais finalement elle se rend compte que c'est pas si génial que ça. En vérité, elle est jalouse des meilleurs, parce qu'elle a une voix de casserole qu'on gratte à la paille de fer - mais elle ne l'admettra jamais. En plus l'espagnol elle aime pas ça, déjà que son anglais est pas génial, l'autre Schuester, elle l'a jamais blairé ! Ah, quand ils se bagarrent avec Sue, elle aime bien être aux premières loges... ça peut toujours être intéressant. Mais le cheerleading, elle avait essayé une fois, c'est vraiment trop dur ! Faut lever les pompons en même temps que les autres, crier des trucs d'encouragement, se lever puis se baisser... Oh non, trop crevant. Elle préfère encore un bon vieux cours de SVT ; écouter le prof parler en dessinant des zigouigouis sur son cahier de brouillon, c'est bien moins fatiguant.
Idéologie: (2 lignes) Vivamus condimentum orci non sapien bibendum rhoncus. Nunc laoreet, magna eget feugiat congue, augue dolor feugiat nulla, at luctus risus orci id velit. Nam eget diam nec erat eleifend laoreet.

Ludivine Hayley Margaret Speckhart est née dans le 15e arrondissement de Paris, un jour de septembre 1996. Son père, un riche banquier américain -déjà marié de surcroît- avait un peu trop traîné avec sa secrétaire attitrée, résultat, ils se retrouvèrent avec un bébé dans les pattes. En voyage d'affaire, le couple improvisé dût s'organiser pour élever Ludivine dans le plus grand secret, mais l'infect poison les contaminèrent : ils tombèrent amoureux, comme dans les contes de fées. Finalement son père divorca de son ex-belle mère et la petite famille resta en France pendant quelques années. Deux ans après la naissance de Ludivine, une deuxième fille, Kirsten, pointa le bout de son nez. L'aînée et sa soeur cadette s'entendaient à merveille. Tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes. Ludivine n'était pas une très bonne élève, un peu brouillonne, un peu distraite ; Kirsten était un peu plus appliquée et soigneuse. Puis, à 8 et 6 ans, une nouvelle vint briser leur petite vie tranquille. ''Votre mère et moi, nous avons décidé de retourner aux Etats-Unis, le pays de papa. Nous déménagerons dans un an''. Et durant cette période, Ludivine qui avait déjà quelques difficultés vit s'ajouter un apprentissage d'anglais intensif - et même aujourd'hui, elle garde encore un bon gros accent français. Elle et Kirsten furent un peu moins proches avant d'abandonner complètement leur complicité des débuts. Aux Etats-Unis, la vie était belle, avec les petites barrières blanches devant les jolies maisons de pierre comme dans les films.
/a suivre/

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